Il y a ses tubes : Là c’est die, Pardon, Santa Maria… Des albums disque d’or ou de platine : Tranquille, Libre, Équateur et tant d’autres. Ridsa, grâce à ses origines latines, incarne un genre bien défini : un amour pour les musiques à la Bad Bunny, pour la soul à la Ray Charles, comme pour la chanson française, de Goldman à Orelsan. Ridsa, ce sont des chiffres faramineux : des millions de vues sur ses clips, autant d’écoutes sur les plateformes de streaming. C’est bien simple : lorsque Ridsa sort un son, impossible de passer à côté.
Il y a ses tubes : Là c’est die, Pardon, Santa Maria… Des albums disque d’or ou de platine : Tranquille, Libre, Équateur et tant d’autres. Ridsa, grâce à ses origines latines, incarne un genre bien défini : un amour pour les musiques à la Bad Bunny, pour la soul à la Ray Charles, comme pour la chanson française, de Goldman à Orelsan. Ridsa, ce sont des chiffres faramineux : des millions de vues sur ses clips, autant d’écoutes sur les plateformes de streaming. C’est bien simple : lorsque Ridsa sort un son, impossible de passer à côté.
“La musique latine, c’est d’abord de la poésie”, martèle-t-il. Avec l’écriture en cheval de bataille. Ce que Ridsa s’autorise enfin à montrer. Car Ridsa, c’est avant tout Maxence Boitez. Ce jeune gars originaire d’Orléans, qui ne s’est pas toujours senti à sa place - “trop entier, trop humain” -, quelqu’un qui n’a pas confiance en lui, encore moins lorsqu’il est dans la lumière. Alors Ridsa lui permet d’enfiler un costume : celui de l’artiste capable de faire bouger tout le monde en écrivant l’amour et tout ce qu’il englobe. Ridsa, c’est cet artiste passionné de musique mais au passé douloureux. Un artiste qui a connu la rue là où il a créé son premier album, Tranquille. Un artiste qui s’est perdu, puis - enfin - retrouvé. Ridsa, c’est celui qui a eu besoin de souffler après ses premiers succès, puis qui est revenu avec son album Équateur - en essayant d’apprécier enfin les moments simples. Celui qui, depuis, a créé son propre label, Sunset Avenue. En totale indépendance, il prépare son public à découvrir qui est le vrai Ridsa : cet artiste capable de faire aussi bien de la bossa nova que du reggaeton - triste s’il le faut. De la house comme du club. Des chansons en guitare/voix qui redonnent espoir en l’amour, comme parler des déchirures qui ne se soignent pas. C’est pour ça que l’on aime Ridsa : pour son honnêteté, sa capacité à partager tout ce qui le tracasse, à être terriblement proche de son public, comme un ami.
Entouré de musiciens sur scène, Ridsa est aujourd’hui “totalement prêt”. Prêt à être un véritable artiste, à faire une musique latine réjouissante mais authentique. À être transparent mais toujours le corps léger. La musique de Ridsa, c’est comme regarder un coucher de soleil et l’immensité de la mer. On s’y perd dedans… puis on s’oublie en dansant.
09 SEPTEMBRE 2025 | Douai - Ridsa - Carré Brasserie de la Foire de Douai |
27 SEPTEMBRE 2025 | MONTPELLIER - Ridsa - Rockstore |
28 SEPTEMBRE 2025 | Toulouse - Ridsa - La Cabane |
02 OCTOBRE 2025 | PARIS - Ridsa - LA CIGALE |
04 OCTOBRE 2025 | LILLE - Ridsa - Splendid |
08 OCTOBRE 2025 | BORDEAUX - Ridsa - Rock School Barbey |
09 OCTOBRE 2025 | Nantes - Ridsa - Warehouse |
18 OCTOBRE 2025 | Liege - RIDSA - REFLEKTOR |
23 OCTOBRE 2025 | Villeurbanne - Ridsa - La Rayonne |
24 OCTOBRE 2025 | Seyssinet-Pariset - Ridsa - Ilyade |
25 OCTOBRE 2025 | Nice - ridsa - Frigo 16 |
28 OCTOBRE 2025 | Nancy - Ridsa - L’autre Canal |
30 OCTOBRE 2025 | AIX EN PROVENCE - ridsa - 6MIC |